Les insectes ravageurs détruisent tout sur leur passage. Les végétaux sont les plus concernés comme les plantes, les arbres, les cultures… Certains mangent même du bois et d’autres substances encore plus dures. Les dégâts qu’ils laissent derrière eux sont si importants que la lutte devient indispensable pour l’homme. De quels dégâts parle-t-on ?
Destruction des plantations et de la culture
La destruction de toute forme de végétal est la principale raison pour laquelle il faut lutter contre les ravageurs. Toutes les plantations sont concernées : potager, jardin, culture vivrière, etc. Ils se nourrissent de fruits et de légumes, et même d’herbacées. Autant dire qu’ils n’ont aucune pitié et ne perdent pas de temps pour tout dévaster. Et même si cela rentre dans le cycle naturel ou l’écosystème, les conséquences néfastes sont trop importantes qu’il faut agir.
Le souci, c’est leur présence à l’international. Certains sont peut-être endémiques à certaines régions du monde, mais leur effet reste le même. D’autres ont envahi toute la planète et se multiplient sans cesse. D’autres encore ont évolué et sont très difficiles à éliminer. Le but est donc de limiter leur propagation en intervenant très tôt, le plus tôt possible.
L’effet « ravage » après leur passage
Tout meurt après le passage des insectes ravageurs. Que ce soit des sauterelles, des fourmis, des araignées ou autres, ils ne laissent rien. Pourtant, le meilleur moyen pour en venir à bout, c’est la lutte mécanique. Si vous en avez dans votre jardin, des rats par exemple, des pièges, des toiles protectrices ou les répulsifs sont recommandés. Vous trouverez des produits naturels pour en venir à bout.
Cet effet « ravage » s’étend sur plusieurs formes :
- physique : la perte est tangible et visible ;
- quantitative : les plantations diminuent ou sont totalement inexploitables ;
- qualitative : le reste des cultures ne peut être vendu parce qu’ils ne répondent certainement plus aux normes de taille ou d’esthétique ;
- pécuniaire : les problèmes s’enchaînent, et les dommages deviennent des manques à gagner. Il faut même tout remettre en place, donc engager d’autres dépenses.
Les maladies : un souci planétaire
La pandémie nous a appris au moins une chose : l’homme n’est à l’abri d’aucun fléau naturel. Une maladie déclenchée par des vecteurs naturels peut être fatale. Justement, les insectes ravageurs peuvent être porteurs de maladies graves. Beaucoup pensent que ce n’est pas du tout possible. Pourtant, on sait que les insectes sont très résistants à certains produits chimiques. Tous les ravageurs, comme les rats et les fourmis, sont dotés d’un tel mécanisme de défense.
C’est le cas des criquets. Leurs corps sécrètent des substances pour vaincre, à la longue, les effets des insecticides. Si on continue à les asperger avec, ils peuvent devenir insensibles à toute forme d’insecticide connue. On dit même que les formes actuelles sont plus développées que les précédentes. Les produits ont aussi été révisés parce qu’à un moment donné, ils n’étaient plus efficaces. D’où la nécessité d’introduire ou d’utiliser les animaux de proie en fonction des ravageurs.